Aujourd’hui dans Graine de Métamorphose Alexandre Dana reçoit Jean-Charles Kurdali, ancien joueur de poker de haut niveau, puis entrepreneur, désormais coach et auteur. Comment ne plus subir, mais choisir sa vie ? Face à la rapidité toujours plus forte de la vie contemporaine, nous sommes nombreux à nous sentir parfois dépassés et passifs. Comme si le cours de notre existence n’était plus en notre contrôle et que le mode auto-pilote s’était imposé. C’est ce qui explique peut-être le regain de popularité de philosophies oubliées comme le stoïcisme, dont les enseignements s’avèrent particulièrement précieux dans notre monde moderne. Aujourd’hui, Jean-Charles Kurdali nous propose un voyage introspectif guidé par certaines sagesses oubliées et intemporelles.

Alexandre Dana reçoit Anne Ghesquière, fondatrice de Métamorphose pour la sortie de son nouveau livre ! Elle cite Jung en introduction de son nouveau livre qui donne le ton : « L’homme mérite qu’il se soucie de lui-même car il porte dans son âme les germes de son devenir ». Aujourd’hui, elle passe de l’autre côté du micro pour nous présenter ce dernier projet intitulé Va, vis et deviens conscient de toi-même publié aux éditions Eyrolles. Un projet inclassable, où Anne ne sélectionne pas, mais explore tout comme l’indique le Dr Philippe Presles dans sa postface. Le résultat, riche en rituels à adopter, en symboles à découvrir, en thérapies à explorer, en aliments à déguster, ce sont 12 chemins de métamorphose.

Aujourd’hui dans Graine de Métamorphose, Alexandre Dana reçoit Baptiste Beaulieu médecin généraliste et romancier. Où vont les larmes quand elles sèchent ? Disparaissent-elles simplement dans le mouchoir qui les essuie ? Ou font-elles naître autre chose ? Encore faut-il pouvoir les faire couler, ces larmes…Dans le dernier roman de Baptiste Beaulieu, “Où vont les larmes quand elles sèchent”, paru aux éditions L’Iconoclaste, le narrateur, Jean, est un médecin généraliste qui passe autant de temps à consoler qu’à soigner, se pose beaucoup de questions sur la vie, la sienne, mais surtout celle des autres, et cherche, en racontant la vie de ses patients, à comprendre où sont passées ses larmes. Car depuis longtemps, Jean ne pleure plus, ni de tristesse ni de joie. Tout reste coincé en lui, bien qu’il sache à quel point, pleurer le soulagerait, comme cela soulage ses patients, qui souvent, se confient dans son cabinet…Mais en fait, à quoi ça sert de pleurer ?

Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Saverio Tomasella, docteur en psychologie, psychanalyste et spécialiste français de l’hypersensibilité. Nous avons parfois l’impression d’être dans une essoreuse, de ne plus rien maîtriser, de ne plus avoir d’emprise, de nous laisser emporter par la vague. Saverio a souhaité nous délivrer le message suivant : nous sommes acteurs de notre propre changement et pouvons œuvrer pour un « nouveau monde ». Mais quelles clés sont en nous pour changer vraiment ?

Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Boris Cyrulnik, psychanalyste, neuropsychiatre et écrivain. Que ce soit dans le monde animal ou humain, la violence est partout. C’est même le socle des civilisations. Alors est-il possible de la prévenir à l’échelle d’une société ? Revenons avec Boris Cyrulnik sur les enjeux cruciaux qui se déroulent pendant cette période clé du développement et l’importance primordiale d’un attachement sécurisé et sécurisant dans les premières années de la vie.

Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Bertrand Vergely, philosophe, maître de conférences en théologie et écrivain. « Trouver l’âme sœur », « errer comme une âme en peine », « se donner corps et âme », « la mort dans l’âme » sont autant d’expressions que nous entendons régulièrement. Pour autant, si l’on interroge les personnes autour de nous, combien sauront définir ce qu’est l’âme et combien la considèrent encore ? Aujourd’hui, voyons comment sortir vivant des émotions, de nos émotions, en libérant l’âme.

Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Bernard Werber l’un des romanciers les plus lus en France, traduit dans le monde entier. Avons-nous le temps d’attendre que la sélection naturelle s’opère sur l’homme pour qu’il soit plus résistant à la pollution, aux maladies inflammatoires, aux radiations nucléaires ? Si l’être humain a toujours su s’adapter le peut-il encore aujourd’hui ? Contrairement à toutes les autres espèces vivantes, l’être humain est le seul individu à n’avoir qu’une seule et unique race : 2 êtres humains ont 99.9% d’ADN identique, notre espèce étant trop récente nous manquons de diversité génétique. Aujourd’hui, Bernard Werber nous amène à nous interroger sur le monde de demain et quelle est notre place dans ce nouveau monde ?

Anne Ghesquière reçoit dans Métamorphose Harry Roselmack, journaliste, rédacteur en chef et réalisateur. L’apparition de l’univers est-elle porteuse d’une finalité ? Quel rôle avons-nous à jouer dans cette cosmogonie ? Roselmack est un passionné.et ses questionnements existentiels l’ont mené au journalisme. Selon lui, l’évolution de l’humanité et l’avènement d’un avenir plus radieux passera par une prise de conscience nous permettant d’enfin “naître”. Un épisode fascinant sur la métaphysique.