Imagine que tu veux te lancer dans le cinéma, mais qu’à 15 ans, un producteur te dit que tu n’as aucune qualité pour faire un film. Que tu es trop fragile, que ton visage est “trop large”… Ça en dissuaderait pas mal. Mais ça n’a pas dissuadé Kev Adams. À 32 ans, il a joué dans plus de 20 films (sans compter son rôle mythique dans la série Soda). Comment Kev a t-il réussi à se faire une place dans le milieu fermé et ultra élitiste du cinéma et de la télévision, malgré les refus, les critiques, voire même la violence de certaines personnes ? Et surtout, comment peut-on s’inspirer de son parcours pour réaliser nos projets les plus ambitieux – malgré les vents contraires et l’absence de soutien ? J’ai trouvé son histoire fascinante, parce qu’elle montre même si le fameux “quand on veut on peut” peut être vrai, il ne l’est qu’à UNE seule condition. Une condition qui est rarement mise en avant, et sans laquelle il est pourtant impossible de trouver l’énergie nécessaire pour avancer. Pour la découvrir et mettre son expérience au service de tes propres objectifs, je t’invite à regarder cette vidéo. Durant cet échange, Kev revient aussi sur… – Son adolescence de mec « verre d’eau » (et comment ça l’a motivé à devenir comédien). – Comment il trouve la force de continuer à avancer malgré l’accumulation des échecs (un élément qu’il a aussi retrouvé chez Gad Elmaleh, Jamel Debbouze, ou encore Franck Dubosc). – Comment il gère la critique et le regard des autres (il appelle ça “la théorie du pinçage”). – Comment il gère l’aspect business de la production d’un film (et pourquoi il est indispensable d’être un bon négociateur – quel que soit le milieu). – Le moment où tout a failli s’arrêter pour lui pendant le Covid (et le retournement de situation inattendu qui lui a permis de rebondir)… Et bien plus encore.